Final Fanatsy XI Online

Final Fantasy XI
Le MMORPG

Site officiel
Plateforme(s) PlayStation 2, PC Windows, Xbox360
Langue: FR
Date de sortie: 16 mai 2002
Prix d'achat 49,99 € + abonnement : 12,00 € / mois

Guide du jeu

On a le choix entre plusieurs races, et il suffit de sélectionner celle qui semble le mieux correspondre à votre personnalité : les Galkas sont de vaillants guerriers, alors que les Taratars font plutôt dans la magie, tandis que les Elfes, en plus d’utiliser un peu la magie, manient très bien les armes blanches. Viennent ensuite les Mithors, des espèces de femmes-chattes, mais vous pouvez également incarner un simple être humain. Ne pensez pas que sous prétexte que c’est un Final Fantasy, vous pourrez retrouver Vivi, Sephiroth ou encore Clad. Pourtant, ça aurait eu de la gueule de les incarner sur le réseau. Mais continuons.





Lorsqu’on joue à un jeu en ligne, on peut très vite perdre son temps à faire n’importe quoi (cuisiner, jardiner, etc.), et je ne vous pas la patience qu’il faut, et à tous les niveaux, que ce soit dans les missions ou dans les quêtes annexes. Il faut juste être à un bon niveau. Final Fantasy XI en propose dix. Pour atteindre des hauts scores, il faut systématiquement passer par les missions de la Guilde. Dernière version oblige, cet opus X360 hérite directement des trois extensions du jeu (, et c’est tant mieux. Remarquez, c’est la moindre des choses vu l’ancienneté du titre. Mieux encore, cette version propose des zones inédites, et les récompenses dans ces lieux valent enfin le coup. Mais bon courage pour parvenir jusque là…

Jouer prend beaucoup de temps, et se déplacer est aussi très long. Plutôt que de tout parcourir à pieds, pourquoi ne pas louer des Chocobos (à condition de disposer d’un bon niveau) ? Pourtant, ils ne sont pas toujours d’une grande efficacité. Certaines zones ne leur sont d’ailleurs pas accessibles, et ils finissent par nous lâcher au bout de quelques minutes. C’est désagréable de se retrouver parfois planté au beau milieu d’un combat alors qu’on ne faisait que passer. Et pour traverser l’océan, rien de tel que de monter à bord de bateaux gigantesques. Hélas, les traversées sont extrêmement longues, alors pour passer le temps il vous sera possible d’aller pêcher.


Par rapport à d’autres Final Fantasy, ici pas de combats aléatoires. On est libre de se battre ou de discuter simplement. Mais ça a quand même du bon de se battre, puisque ça permet d’engranger des points d’expérience, servant plus tard à renouveler votre équipement, par exemple. Une limite s’impose tout de même. Par exemple, il faudra souvent avoir un niveau adéquat pour combattre dans des arènes. De plus, les récompenses sont rarement intéressantes, puisqu’on gagne le plus souvent de nouvelles tenues (moins bien que celle que vous possédez). Parfois, avec un peu de chance, vous gagnerez une nouvelle quête, mais c’est vraiment rare.

Si un ami est en ligne, il est possible de le rejoindre directement. Dans le cas où il serait absent, vous pouvez lui envoyer un message. Vu le nombre de connectés, la communication se déroule dans un chat. C’est là qu’on créera des alliances la plupart du temps, et la dépendance gagne très vite le joueur, qui se sent obligé de se connecter, histoire de voir du pays. Toutes les régions visitées sont habitées par divers animaux et créatures enchantées. Celles-ci peuvent devenir vos proies, à moins que vous ne deveniez le gibier. Après leur mort, elles laissent un item, qui peut parfois valoir le coup. C’est ainsi qu’il sera possible d’améliorer les capacités de son avatar.


Bien que Square Enix ait opté pour un MMORG, le design si singulier de la série est toujours reconnaissable entre mille. Même si les personnages ne sont pas dignes d’un jeu next-gen, le jeu se rattrape par la diversite des races proposées. Graphiquement honnête, le jeu devient tout de même assez moche si on ne possède pas de TV haute définition. Cependant, le jeu ne subit aucun ralentissement, et d’ailleurs le serveur est l’un des meilleurs auquel j’ai été confronté, surtout depuis un certain Front Mission Online. Reste la motivation pour y jouer… Première mauvaise surprise qui démotive : c’est beaucoup trop lent, et on perd un temps pour accéder au jeu. La seconde, c’est qu’en plus de payer pour le Xbox Live, il faut rajouter 12,90 euros pour pouvoir jouer à Final Fantasy XI pendant un mois. Square Enix peut rétorquer qu’à ce tarif on a accès au serveur PlayOnline, mais à part FFXI, aucun jeu n’est disponible dans le catalogue. Alors payer deux abonnements, bonjour l’arnaque.


Les 3 extentions sont :
Final Fantasy XI : Rise Of The Zilart, Final Fantasy XI : Chains Of Promathia et Final Fantasy XI : Treasures Of Aht Urhgan.


Cordialement Cronos et Bon jeux